2 Unlimited reconnaît que, finalement, il y a bien une limite

Après plusieurs années de débat sur le sujet, 2 Unlimited, le groupe phare des années 90, a finalement dû admettre, bien malgré eux, qu’il y a une limite et qu’ils l’ont franchi depuis longtemps déjà.
Le duo belge d’Eurodance, célèbre pour son single « No Limit » (soit dit en passant, célèbre uniquement grâce au single « No Limit ») a été forcé de sortir de son silence suite à sa mise en examen pour malveillance, mise en danger d’autrui et ce, en raison de nouvelles réglementations européennes qui étendent aux objets inanimés et aux concepts abstraits, les lois encadrant la diffamation.
« Ils auraient dû savoir qu’il y avait des limites avant même de commencer. C’est simple : quelqu’un peut-il me donner le nom de leur deuxième single ? » demanda un journaliste à une audience silencieuse lors d’une conférence de presse. « Voilà, c’est ça. Personne ne peut ».
Alors que les paroles mettaient en lumière qu’« il n’y a pas de limites, qu’il n’y a pas de vallée trop profonde à explorer ni de montagne trop haute à escalader », les 2 membres de 2 Unlimited ont voulu prouver que tout le monde pouvait grimper n’importe quelle montagne simplement en y croyant. Cependant, plus de 15 heures après leur départ, le duo n’a donné aucun signe de vie ce qui tend à prouver qu’il y a bien des choses infranchissables.
Après Shaggy, c’est un deuxième groupe des années 90-2000 qui est sur la sellette en raison de chansons trop « légères » et « mensongères » et il est certain que cela ne s’arrêtera pas là.
La commission européenne à l’origine de l’affaire entend bien mettre un terme à ce mensonge afin de montrer à la face du monde la série de drames qui en a découlé et dont personne n’a parlé.
En effet, le porte-parole de la commission en est certain : « L’utilisation imprudente de l’expression ‘No Limit’ a causé des problèmes partout dans le monde pour une génération entière d’utilisateurs d’ecstasy qui ont été encouragés à se droguer et à mourir à cause d’un refrain vide de sens et dangereux ».
« Nous espérons que ce cas de diffamation fera date et servira d’exemple pour tous les soit-disant artistes qui font l’apologie des drogues en martelant et en s’enrichissant avec un unique single. De ce fait, on aura bien prouvé qu’il y a des limites à tout » conclut-il.
Source : Wunderground

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