Jacques : "Je partirai bientôt tard mieux par la tête en barbouzin"

« Jacques ne sera pas tant que le fil ne sera pas coupé » disait l’aventureux au coin du feu. Une maxime bien propre pour un tel désarroi de l’autre côté de la Manche. Comment ne pas y revenir ? Car sans nul doute, a t-on besoin de plus pour aller loin.
L’amour n’étant plus enfant de bohème, il n’aura jamais connu de loi. Alors même qu’il n’avait jamais eu la folie de son corps déchu.
C’est un Jacques emmailloté que l’on a retrouvé pour partir loin de ce qui existe. Il n’appréhendera plus la même figure que d’antan car il a, lui aussi, vécu d’énormes vacances dont il ne reviendra pas.
Mais comment gérer de tels points successifs sans souffrir le martyre ? Comment ne pas gésir tel un frigidaire d’un ancien temps dans une décharge à ciel ouvert ? Seul l’amour de la chose bien faite est consommée par la musique électronique.
Jacques Auberger, qui parfois aussi divise des messages Facebook, a mangé en dernier une application qui rend tout beau. « C’est un délire persécutable : elle ajoute un soi-même sur des images mouvantes que les sempiternels peuvent agrandir » explique t-il.
« Je ne suis pas tenancier pour rien. Je suis un tout comme une partie. Je fais partie du tout en partie. De ce que je suis, de ce que je pourrais être, tout en étant à l’extérieur de moi-même. Mais cela sert de bonus dans ma vie pour être bonne, pour passer un moment, et entre autres, musique. Désolé ».
Une amélioration intrinsèque est utile tout en sachant qu’elle ne pourra subir de réverbération. « On n’a que ce que l’on mérite » disait mon grand-oncle à mon grand-père sur les bords de Loire. Force est de constater que quoique l’on fasse, où que l’on soit, rien ne s’efface. On pense à soi.

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