Un clubber de 35 ans se demande ce qu'il fera quand il sera plus grand

John Maxwell, un clubber de 35 ans originaire de Manchester, a encore du mal à décider ce qu’il voudra faire quand il aura grandi. Adepte du clubbing depuis le début de son adolescence, John affirme qu’il est grand temps de choisir une carrière professionnelle et de donner un sens à sa vie.
“Cela devient sérieux maintenant, je ne rajeunis pas » nous dit John. « Tout le monde a le droit de se laisser aller après le stress des examens scolaires. Mais comme j’ai quitté l’école en 1996, il est grand temps pour moi de passer à autre chose ».
« Je travaille dans la même boite depuis quinze ans” explique t-il. “Je suis entré en tant qu’intérimaire, puis j’ai décroché un CDI et maintenant je suis un responsable des ventes régionales ».
« Mais ce n’est pas vraiment ce que je me vois faire à l’avenir » insiste John. « Ce travail, c’est juste pour les 45 000 € annuels, la voiture de société et la mutuelle pendant que j’essaie de trouver où se situent mes vraies passions et mes vraies compétences. Je ne veux pas rester dans ce petit confort bien payé et ennuyeux le reste de ma vie » .
“C’est évident que je grandis, la puberté est bel et bien terminée. Je dois commencer à prendre mes propres décisions et forger ma place dans ce monde” continue t-il.
“Je vais devoir avoir une longue conversation avec papa et maman à propos de mon avenir” déclare John. « Je suis sûr que je pourrai revenir chez eux pour faire une machine ou deux au cas où. Et je sais que ma chambre sera toujours là. C’est un filet de sécurité agréable à avoir ».
« Nous sommes ravis que John ait si bien tourné et de le voir prendre sa vie en main. C’est un grand garçon maintenant, il est temps de couper le cordon” déclare Peter, le père de John, 65 ans.
John nous affirme qu’il va essayer de trouver un travail lié à ses intérêts : « La télévision, l’art, la musique, les jeux vidéos ou l’événementiel… Sans que je sois obligé de vendre quoi que ce soit par contre. Ou sinon écrire… Ou regarder des trucs, je sais pas trop. Tant que c’est bien payé avec une voiture de société, des heures cools et beaucoup de vacances, cela m’ira ».
« Cela ne devrait pas être trop difficile à trouver” conclut John.
Source : Wunderground

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