C'est officiel : tous les branleurs de vos années Lycée sont devenus DJs

C’est désormais officiel et la très sérieuse étude du WYUYD en atteste : 100% des connards que vous avez pu croiser lors vos années lycée comme les relous du fond de la classe ou les fumeurs de Patafix sont plus enclins à embrasser des carrières demandant beaucoup d’égocentrisme et de pseudo-snobisme comme peut l’être une carrière de DJ.

Du football à la touche Sync

Les branleurs, et plus particulièrement ceux qui jouaient au foot, se retrouvent aujourd’hui à appuyer frénétiquement sur les touches Sync des contrôleurs, majoritairement en province, leur conférant un esprit prétendument cool et branché.

« Durant toute leur jeunesse, leur but ultime était d’attirer l’attention des autres. Ainsi, la carrière de DJ s’inscrit dans une poursuite plus mature de ce but » affirme Jean Greenball, auteur de cette étude. « Etant naturellement des showmen, on pourrait penser que ces personnes auraient pu être intéressées par une carrière d’acteur. Cependant, leur manque intrinsèque de talent les empêche de se projeter dans ce milieu ».

Des DJs auto-proclamés

L’étude révèle pourtant que la plupart d’entre-eux ne peuvent pas être considérés comme DJ mais s’auto-proclament ainsi après un achat récent de contrôleurs ou de platines et la lecture répétitive, voire abusive du même track joué bien trop fort et ponctuée de quelques onomatopées de plaisir lancées au micro.

Des techniques qui rappellent celles de l’ambassadrice du vide, Paris Hilton, passée maîtresse dans cet art.

Ancien branleur de lycée, Jacques Yourkel soutient que, avant d’être l’un des plus gros fumeurs de cannabis de Montélimar, gangster rappeur et reconnu comme la terreur de Rochemaure, commune limitrophe de Montélimar, il a « été très fortement impliqué dans la Deep House » et revendique « avoir foutu le bordel pendant des années derrière les platines ».

« Je suis toujours dans le milieu du DJing » nous assure t-il. « J’écoute des sets en bouffant des taz et en faisant des doigts à tout le monde en soirée. Comme tout le monde dans ce milieu quoi ».

« Être DJ, c’est plutôt un style de vie que quelque chose qui demande du talent non ? N’importe quel branleur peut devenir DJ maintenant » poursuit Jean, plutôt très à l’aise et droit dans ses bottes.

« C’est le nouvel atout n°1 du trou du cul en manque de reconnaissance, comme se laisser pousser la barbe, se faire tatouer ou afficher ses records de running sur Facebook ».

Selon l’étude, le reste des branleurs de vos années Lycée sont devenus enseignants, banquiers ou trafiquants de drogue.

Source : Wunderground

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