Pratiquement un an après la reconnaissance de la Zone 51 par la CIA, l’information alimente une nouvelle fois le débat sur l’existence des extraterrestres sur notre planète.
La Zone 51, c’est bien sûr l’endroit où seraient entreposés les vestiges du crash de Roswell, preuves des relations secrètes entre l’armée américaine et les extraterrestres. Son existence n’avait jamais été officiellement reconnue par le gouvernement américain. En août 2013, ce fût chose faite. Des documents déclassifiés de la CIA évoquent sans conteste l’existence de ce site ultra-confidentiel dans le désert du Nevada.
Pendant près d’un an, des investigations poussées ont permis de mettre en lumière une liste de plusieurs aliens qui se seraient échappés de « Dreamland« , comme on l’appelle aussi. Cinq artistes mondialement connus, dont Jeff Mills, en feraient partie.
“Visage émacié, yeux en amande, grande taille, large front, Jeff Mills a tout d’un extraterrestre de la race des Ancients ou encore appelée Mante Religieuse” explique Pascal Bottin du très sérieux site Noufors. “Les Ancients sont des esprits supérieurs, des êtres froids, très intelligents, introvertis et calmes. Ils ressemblent plus à des insectes que les Gris et sont plus grands aussi”.
Interrogé à ce sujet, un raver de la première heure nous confie : “Cela ne m’étonne pas du tout. C’est tout à fait logique même. Comment expliquer un tel phénomène autrement ? 3 platines, plusieurs machines, une vitesse d’exécution incroyable. Ils nous hypnotisaient. Je me souviens très bien avoir plaisanté plusieurs fois en demandant à mes potes – Mais de quelle planète il vient – ?”.
“Vraisemblablement d’une planète dans le système Alpha du Centaure” répond notre spécialiste.
Tout porte à croire que Jeff Mills n’est donc pas le seul à avoir pris une apparence humaine. Le nom de Michael Jackson est également cité. “C’est une toute autre histoire pour lui, plus triste… Les théories sur sa mort vont bon train mais la plus plausible est qu’il serait devenu trop humain et qu’il aurait été supprimé par ses congénères. Toute sa vie, Michael Jackson a essayé de revenir à son état physique originel et il y est presque parvenu allant même jusqu’à appeler son ranch d’un des autres noms de la Zone 51 : Neverland. Mais dans le même temps, dans son for intérieur, il devenait de plus en plus humain, avec toutes les excentricités qu’on lui connaît” explique une larme à l’oeil, Pascal Bottin.
Jeff Mills, lui aussi, a essayé de renouer avec ses origines. Mais il a été plus subtil en injectant des références à l’espace, aux ovnis, à la quête de quelque chose de différent durant toute sa carrière.
“Parcourez sa discographie et vous verrez que tout cela prend un sens. Il suffit de regarder les pochettes et les noms de ses derniers albums pour comprendre qu’il fait référence à son monde qui doit tant lui manquer” conclut Pascal Bottin.
Illustration : Hand To Hand