L’extreme-entertainer américain s’est proposé pour être attaché au géant de bois qui sera brûlé en fin de festival comme chaque année.
C’est hier matin, lors de la conférence de presse du Burning Man à San Francisco que l’annonce a été faite en présence de Steve Aoki lui-même devant un parterre de journalistes stupéfaits.
« Le sacrifice que fait Steve au nom de l’art est sans précédent dans le monde du spectacle et nous sommes fiers qu’il ait choisi notre festival pour le faire » a annoncé la porte-parole du Burning Man, Marylin Johnson.
« J’ai tout fait, je suis arrivé au bout de moi-même. Je me suis cassé des vertèbres, des côtes, failli mourir en me brisant le cou, j’ai jeté un gâteau plein de crème dans la tête d’un handicapé, fait du crowd-surfing dans un bateau pneumatique, je n’ai plus rien à prouver. Qu’est-ce qu’il me reste à faire sinon mourir en cramant sur un géant de bois dans un festival de faux hippies ? » précise Steve Aoki.
« Je vais aller au bout de mon art, mourir en héros, jeune, à 37 ans, comme Kurt Cobain, Amy Winehouse, Jim Morrison ou Jimi Hendrix. Et surtout, je vais réaliser le vieux rêve de tous les artistes… Mourir sur scène. De mon plein gré. C’est beau non ? »
La nouvelle fait froid dans le dos et les fans sont inconsolables mais on murmure déjà que l’information serait fausse et qu’évidemment Steve Aoki ne mourra pas ce Lundi 7 septembre 2015 à Black Rock dans le désert du Nevada.
Tout ceci serait un énorme coup marketing orchestré pour donner encore un coup de fouet à la carrière de l’américain qui n’en a pas vraiment besoin.
Nous en doutons.
Plusieurs sources confirment que ce gros débile fini à la pisse (NDLR : ces termes outranciers n’engagent que le pseudo-stagiaire-journaliste, auteur de cet article à deux balles) se prépare bel et bien en peaufinant dans son atelier les derniers détails de son show.
Cette performance ultime, son « chef d’œuvre » comme il l’appelle déjà, mettra un terme définitif et spectaculaire à une carrière déjà bien remplie de fientes de pigeons malades.
Damn!